Vous envisagez une rénovation énergétique à Caussade ou à Nègrepelisse et vous vous demandez si l’association d’une pompe à chaleur plancher chauffant est pertinente ? Bonne nouvelle : la réponse est oui, à condition d’un bon dimensionnement, de réglages précis (notamment la loi d’eau) et d’une mise en service soignée. Chez AES Clim 82, nous accompagnons chaque projet local pour concilier confort de chauffe, économies d’énergie et durabilité. En rénovation, une PAC basse température Caussade couplée à un plancher chauffant permet souvent d’atteindre un excellent SCOP sur la saison de chauffage, tout en gagnant en silence et en homogénéité de la chaleur. C’est particulièrement vrai dans les maisons individuelles du Tarn-et-Garonne où l’on recherche une solution à la fois performante et agréable au quotidien.
Dans le cadre d’une Nègrepelisse rénovation, beaucoup de propriétaires souhaitent remplacer une vieille chaudière fioul ou gaz, réduire les factures et améliorer le confort. Le plancher chauffant basse température est le meilleur allié de la pompe à chaleur air/eau : il fonctionne à des températures d’eau modestes (souvent 28 à 40 °C), ce qui augmente le rendement de la PAC. Le couple PAC + plancher apportera une chaleur douce, uniforme, sans poussière et sans bruits parasites. Encore faut-il régler correctement la loi d’eau (la courbe qui fait varier la température de départ selon la température extérieure), équilibrer l’hydraulique, et vérifier l’isolation. C’est notre cœur de métier : installation, entretien et dépannage pour assurer une performance durable, à Caussade, Nègrepelisse et sur l’ensemble du Tarn-et-Garonne.
Pourquoi la PAC basse température et le plancher chauffant forment un excellent duo en rénovation
Le plancher chauffant est un émetteur basse température par excellence. Son large échange de surface permet de chauffer à très faible régime, avec une chaleur diffuse et homogène. La pompe à chaleur air/eau, de son côté, offre son meilleur rendement lorsque la température d’eau de départ reste modérée. Associer les deux maximise la performance saisonnière (SCOP) et la sensation de confort.
- Rendement optimisé : chaque degré de départ en moins améliore le COP instantané et in fine le SCOP de la PAC.
- Confort homogène : fini les zones froides : la chaleur monte doucement du sol, sans stratification excessive.
- Silence et discrétion : pas de soufflage, pas de radiateurs apparents, juste une chaleur douce qui enveloppe.
- Qualité de l’air : très peu de brassage de poussières, un vrai plus pour le confort respiratoire.
En rénovation, cette association suppose de valider la compatibilité du plancher (age, état, isolation sous dalle, pas du tube, collecteurs) et de vérifier que l’enveloppe du bâtiment est cohérente avec une chauffe basse température. Nos techniciens réalisent sur place un diagnostic thermique et hydraulique, et définissent la stratégie de régulation (loi d’eau, thermostats d’ambiance « de secours », abaissements nocturnes, etc.).
Régulation par loi d’eau : le secret d’un confort stable et d’un SCOP élevé
La loi d’eau est la courbe qui lie la température extérieure et la température de départ de l’eau dans le plancher. Elle se paramètre via deux éléments majeurs : la pente (sensibilité au froid) et le déplacement parallèle (ou décalage). Une fois bien réglée, elle évite les surchauffes, les yoyos de température et les démarrages intempestifs de la PAC. Résultat : un confort régulier, et une consommation maîtrisée.
Comment régler la pente et le décalage
Nous commençons par une pente prudente, testée sur plusieurs jours, puis nous ajustons par petites touches. Si la maison est trop chaude par temps doux, on baisse légèrement le décalage ; si elle est trop fraîche par grand froid, on augmente la pente. L’objectif : maintenir une température intérieure proche de la consigne, en limitant l’intervention de thermostats on/off qui perturbent la régulation.
Sonde extérieure, sonde intérieure et auto-adaptation
La plupart des régulations modernes combinent une sonde extérieure (indispensable avec une loi d’eau) et, parfois, une sonde intérieure pour affiner la correction. Nous privilégions une logique « loi d’eau + correction douce » plutôt qu’un pilotage tout ou rien, plus énergivore. Les algorithmes d’auto-apprentissage de certaines PAC aident aussi à stabiliser la température de départ en fonction de l’inertie du plancher.
Impact direct sur le SCOP
Le SCOP reflète la performance sur l’ensemble de la saison. Plus on maintient une basse température de départ grâce à une loi d’eau bien réglée, plus le compresseur travaille dans sa zone de rendement optimal. En pratique, un plancher chauffant correctement dimensionné et régulé permet d’atteindre de très bons SCOP en climat de plaine comme en Tarn-et-Garonne.
Compatibilité et bonnes pratiques en rénovation à Caussade et Nègrepelisse
Dans des maisons des années 80 à 2000, on rencontre des planchers avec différents pas de pose (10, 12, 15 ou 20 cm). Plus le pas est serré, plus on chauffe bas. Nous inspectons les collecteurs, l’isolant sous chape (indispensable), et l’état du réseau. En cas de doute, un essai de montée en température, un désembouage ou un réglage des débits par boucle peuvent être nécessaires.
- Hydraulique propre : purge d’air et rinçage/désembouage pour restaurer les débits.
- Équilibrage par boucle : on calibre chaque pièce pour un confort uniforme.
- Vitesse du circulateur : ni trop faible (zones froides), ni trop élevée (bruits d’écoulement).
- Isolation : un complément d’isolation (combles, menuiseries) aide à réduire la température de départ exigée.
Nous regardons aussi la température maximale admissible du plancher (souvent 50 °C au collecteur, mais l’objectif reste bien en dessous, autour de 30–38 °C selon météo), la présence d’un by-pass et les sécurités antigel/antiscald. Un mitigeur peut être utile sur des planchers anciens si un appoint haute température coexiste.
Retours de chantiers locaux : deux exemples concrets
Maison familiale à Caussade : remplacement d’une chaudière fioul par une PAC air/eau
Contexte : 145 m², plancher chauffant d’origine 2001, combles isolés en 2020. Chaudière fioul en fin de vie. Objectif : baisse des dépenses, confort plus régulier, moins d’odeurs et de maintenance.
Solution AES Clim 82 : PAC air/eau basse température, équilibrage complet du plancher, loi d’eau calibrée (pente 1,1 puis 1,0 après retours), sonde extérieure neuve, thermostat d’ambiance en mode « correction » modérée. Température de départ cible 32–34 °C à 7 °C extérieurs.
Résultat : confort homogène dans toutes les pièces, baisse de la conso annuelle d’environ 45 % vs fioul, disparition des à-coups. SCOP amélioré après ajustement de la pente. Entretien annuel programmé.
Rénovation à Nègrepelisse : modernisation d’un plancher chauffant existant
Contexte : 120 m² de RDC avec plancher des années 90 et quelques boucles partiellement colmatées. Appoint électrique coûteux. Occupation régulière, besoin de confort stable.
Solution AES Clim 82 : désembouage complet, remplacement des têtes de débitmètres, réglage des débits pièce par pièce, installation d’une PAC air/eau et mise en place d’une régulation par loi d’eau avec sonde intérieure.
Résultat : temps de montée en température raccourci, disparition des zones froides, optimisation de la consommation. Le client a constaté une meilleure tenue des températures la nuit, sans surchauffe au petit matin.
Erreurs fréquentes et comment les éviter
- Températures trop hautes : vouloir « booster » la PAC en forçant une eau à 45–50 °C avec un plancher conduit à surconsommer et à faire travailler le compresseur hors zone optimale.
- Thermostats on/off agressifs : ils coupent la PAC brutalement et provoquent des cycles courts. Préférez une régulation à correction douce.
- Mauvais équilibrage des boucles : pièces trop chaudes/froides. Un équilibrage minutieux est essentiel.
- Sonde extérieure mal placée : à l’ombre, face nord, à l’abri des rejets et du soleil. Sinon, la loi d’eau « lit » une mauvaise température.
- Entretien négligé : filtres encrassés, vase d’expansion sous-gonflé, dégivrages perturbés : autant de causes de perte de rendement.
Entretien, suivi et pérennité de l’installation
Un contrat d’entretien annuel sécurise votre PAC et votre plancher : contrôle des sécurités, nettoyage des échangeurs, vérification des débits, pression, soupape, vase d’expansion, qualité de l’eau (inhibiteur si nécessaire), test de dégivrage en hiver, mise à jour des paramètres de loi d’eau. Nous gardons un journal des réglages pour comparer les saisons, affiner au besoin, et maintenir le SCOP dans le temps.
Le plancher chauffant, lui, requiert un regard sur les collecteurs (absence de fuites, mobilité des tiges de débit, températures départ/retour cohérentes) et un rinçage si des boues apparaissent. Une eau trop dure ou oxygénée peut accélérer les dépôts : on agit en prévention.
Aides financières et cadre réglementaire
Pour financer une partie du projet, consultez France Rénov’ qui centralise les dispositifs d’aides, et rapprochez-vous d’un conseiller pour vérifier l’éligibilité (revenus, nature des travaux, matériel). L’ADEME publie également des repères techniques utiles pour choisir et dimensionner votre pompe à chaleur.
Chez AES Clim 82, nous vous guidons dans les démarches et nous fournissons les documents nécessaires (fiches techniques, attestations de mise en service, justificatifs d’entretien) pour sécuriser votre dossier.
Dimensionnement et choix de la PAC : ce qui compte vraiment
Le « surdimensionnement » est l’ennemi du rendement. Une PAC trop puissante multiplie les cycles courts et complique la régulation. Nous calibrons la puissance en fonction des déperditions (calcul thermique), de la zone climatique, et de la température d’eau exigée par le plancher. Nous privilégions des modèles inverter capables de moduler finement, avec une plage de fonctionnement adaptée aux hivers du Tarn-et-Garonne.
Autres critères : acoustique (positionnement de l’unité extérieure, plots antivibratiles), gestion du dégivrage, qualité de la régulation intégrée, connectivité (suivi conso), et disponibilité des pièces. L’objectif n’est pas la puissance « max », mais la cohérence du système complet.

Passez à un confort silencieux et économe
Nos experts règlent votre loi d’eau et optimisent le SCOP de votre installation pour un plancher chauffant performant à Caussade et Nègrepelisse.
Plancher chauffant et mi-saison : les bons réflexes
Au printemps et à l’automne, le plancher chauffant brille par sa stabilité. Plutôt que d’éteindre/allumer chaque jour, laissez la PAC gérer via la loi d’eau. On peut réduire la consigne de quelques dixièmes la nuit et profiter de l’inertie pour lisser la journée. En cas d’apports solaires importants, une régulation qui tient compte d’une sonde intérieure peut éviter la surchauffe.
Si vous partez plusieurs jours, activez un mode « vacances » qui abaisse sans couper les sécurités (antigel, circulation périodique). Ainsi, le redémarrage sera plus doux et économe.
Et avec le rafraîchissement d’été ?
De nombreuses PAC air/eau proposent un rafraîchissement par plancher (plancher « frais »). Cette fonction nécessite des sécurités anti-condensation et des réglages spécifiques (température d’eau élevée, souvent 18–22 °C, et contrôle de l’hygrométrie). Le confort est léger, homogène, et très agréable lors des pics de chaleur s’il est anticipé. Nous validons au cas par cas selon la configuration de votre plancher et l’humidité intérieure.
Check-list avant lancement de votre projet à Caussade ou Nègrepelisse
- Audit thermique simplifié : vérifier déperditions et isolation.
- État du plancher : collecteurs, boucles, débits, pression, éventuels embouages.
- Emplacement unité extérieure : acoustique, dégagements, évacuation des condensats, dégivrage.
- Régulation : présence de sonde extérieure, paramétrage initial de la loi d’eau, stratégie de correction intérieure.
- Hydraulique : circulateur adapté, vannes d’équilibrage, soupapes, vase, filtres.
- Entretien : planifier la première visite après l’hiver pour ajuster la courbe d’après-retour d’expérience.
Pourquoi choisir AES Clim 82 pour votre PAC + plancher chauffant
Entreprise locale et certifiée, AES Clim 82 intervient à Caussade, Nègrepelisse, Montauban, Castelsarrasin, Moissac et dans tout le Tarn-et-Garonne. Notre approche : un conseil transparent, un dimensionnement sérieux, une mise en service documentée, et un suivi de la loi d’eau pour vous assurer un SCOP durablement élevé. Nos techniciens connaissent les habitations du secteur, leurs spécificités et les contraintes climatiques locales. Résultat : une installation performante, silencieuse et simple à vivre.
Conclusion : un choix cohérent pour une rénovation durable
Associer une PAC basse température à un plancher chauffant en rénovation, c’est miser sur la sobriété et le confort. En paramétrant finement la loi d’eau, en soignant l’hydraulique et l’entretien, vous obtenez une chaleur douce, des factures allégées et un système fiable sur la durée. AES Clim 82 vous accompagne de bout en bout : étude, installation, réglages, maintenance et optimisation saison après saison, à Caussade, Nègrepelisse et alentours.


